Interview d'Ahmed Benbekhti sur dakar.com...

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« DUMAS, C’EST UN GRAND PILOTE ET JE SERAI TRÈS CONTENT DE POUVOIR L’AIDER »

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Après avoir assuré l’assistance rapide pour Sodicars, SMG, le Groupe Besson et Easy Rally, Ahmed Benbekhti œuvre cette année pour le compte du team Rebellion. Sa mission ? Épauler Romain Dumas qui prend pour sa part le départ de ce deuxième Dakar en Arabie Saoudite avec un Buggy DDX RD Limited. Ahmed Benbekhti, qui partagera la cabine de son Man TGA à six roues avec Bruno Seillet et Mickaël Fauvel, est un habitué des rallye-raids et plus particulièrement du Dakar. Avec plus de vingt participations au compteur, ce préparateur de véhicules de compétition se réjouit de ce nouveau périple en Arabie Saoudite. Il y a en effet retrouvé l’an dernier avec plaisir des paysages qui n’ont pas manqué de lui rappeler ses premières épopées africaines. Passionné de sports mécaniques, l’Algérien apprécie toujours autant la solidarité et l’aide mutuelle qui se tissent entre les concurrents dans les moments les plus difficiles de la course. Même s’il redoute lui aussi le manque de roulage dû à l’épidémie de Covid-19, Ahmed est impatient de pouvoir arpenter de nouveau le sable et les cailloux des pistes saoudiennes.

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« Une fois de plus, nous serons là pour apporter notre soutien sans se préoccuper de notre position. Dumas, c’est un grand pilote et je serai très content de pouvoir l’aider. C’est notre job et une mission que j’apprécie énormément. L’an dernier, l’Arabie saoudite a été une belle surprise. Ça m’a rappelé l’Afrique avec du sable, des cailloux, des pistes cassantes… Plus je vieillis et plus ma passion pour le rallye-raid grandit. Même si l’aventure n’est plus la même, c’est toujours un grand bonheur de se retrouver dans ces paysages grandioses que seul le désert peut offrir. Cette année, nous n’avons pas pu courir comme nous avions l’habitude de le faire par le passé. Nous n’avons fait que le rallye d’Andalousie, et la longue coupure a été difficile pour tout le monde. On a pas mal gambergé, cela va nous faire du bien de retrouver l’action. »